The father

La critique :

The father nous plonge dans l’esprit perdu, esseulé et délirant d’un vieil homme atteint de cette sal***rie qu’est la maladie d’Alzheimer. Toutes les connexions ne se font plus là-haut, et le scénario à coups de décors étrangement ressemblants et de personnages interchangeables réussi dès les premières minutes à nous faire perdre pied à notre tour. À vouloir essayer de tout comprendre, on sombre un peu plus dans ce labyrinthe ou le temps et l’espace n’on que très peu d’importance. À souligner : la performance d’Anthony Hopkins, absolument boulversante.